Le 1er janvier, Véronique Lowry est devenue professeure adjointe à l’École de réadaptation de l’Université de Montréal.
À neuf ans, Véronique Lowry observait avec fascination le professionnel de la santé qui venait aider son grand-père atteint de sclérose en plaques à maintenir sa mobilité. Cette image, gravée dans sa mémoire, a semé les premières graines de sa vocation. «Tous mes tests d’orientation pointaient vers la santé», se souvient celle qui est devenue professeure adjointe à l’École de réadaptation de la Faculté de médecine de l’UdeM en janvier.
Elle a par la suite été attirée par la physiothérapie à la fin du secondaire, après une journée passée avec une physiothérapeute à l’Hôpital Notre-Dame pour un travail scolaire. «J’ai été marquée par le fait que les physiothérapeutes passaient plus de temps avec leurs patients et qu’ils entretenaient avec eux une relation prolongée, et je me suis dit que c’est ce que j’aimerais faire plus tard», relate-t-elle.