La recherche n’a jamais été aussi près de pouvoir offrir un premier traitement aux personnes atteintes de dystrophie myotonique, la plus fréquente des dystrophies musculaires chez l’adulte. Selon Pascal Chartrand, professeur et chercheur au Département de biochimie et médecine moléculaire de l’Université de Montréal, ce serait une question de quelques années seulement.