Quand la naissance et la mort coïncident

La Dre Annie Janvier publie un article sur la délicate question des interventions médicales sur des nouveau-nés dont la survie ne tient qu’à un fil.

Même si la mortalité infantile a beaucoup diminué dans les pays développés – passant chez nous de 17 à 4 décès pour 1000 naissances entre 1971 et 2015, selon l’Institut de la statistique du Québec –, le service de néonatologie du CHU Sainte-Justine traite quotidiennement des nouveau-nés malades qui risquent de mourir. Chaque semaine, soit de 50 à 60 fois par année, l’hôpital montréalais doit composer avec cette réalité. «Nous nous posons souvent des questions devant un bébé qui est parvenu à survivre grâce à un respirateur et pour lequel nous constatons que ses chances de survie sont faibles», observe la Dre Annie Janvier, pédiatre spécialisée en néonatologie et en éthique clinique et professeure à l’Université de Montréal.

 

Lire la suite sur UdeM Nouvelles

Articles reliés