Prescrits à tour de bras par les médecins depuis deux décennies pour soulager les patients aux prises avec des douleurs chroniques non cancéreuses, les opioïdes utilisés à long terme ne seraient pourtant efficaces que pour 25 % des malades, révèle une étude.
Étudiant à la maîtrise en pharmacologie à l’Université de Montréal en 2015, Hichem Saïdi a suivi pendant un an les effets de la prise d’opioïdes à court et à long terme chez 1490 patients souffrant de douleurs chroniques — atteints par exemple de sclérose en plaques ou d’arthrite —, les précédentes études se concentrant surtout sur les six premiers mois du traitement.
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