Le 40e Symposium international du Groupe de recherche sur le système nerveux central de l’Université de Montréal se tiendra le 7 mai en présence de sommités mondiales.
Une longue tradition de recherche en neurosciences est ancrée à l’Université de Montréal et c’est en partie grâce aux travaux du chercheur Serge Rossignol. Alors qu’il vient de prendre sa retraite après 42 ans d’enseignement – il poursuit cependant son travail de chercheur! –, le 40e Symposium international du Groupe de recherche sur le système nerveux central (GRSNC), qui se tiendra le 7 mai, lui rendra hommage. Des sommités internationales des neurosciences de la motricité ainsi que des collaborateurs y présenteront leurs plus récents travaux en sciences fondamentales, qui ont des répercussions sur l’élaboration de traitements des déficits moteurs entraînés par des lésions du système nerveux.
«Serge Rossignol a dirigé le GRSNC de 1996 à 2003, il a été titulaire d’une chaire de recherche du Canada pendant 14 ans et il a obtenu entre autres le prix Ipsen pour la plasticité neuronale en 2003 ainsi que le prix et la médaille Christopher Reeve, des distinctions internationales extrêmement prestigieuses», déclare Numa Dancause, professeur au Département de neurosciences de la Faculté de médecine de l’UdeM et membre du comité organisateur du symposium avec les Drs Trevor Drew, Réjean Dubuc et Jean-Pierre Gossard.