Les «humanités» au coeur de la formation des médecins québécois

Je remercie Le Devoir de me permettre d’apporter des précisions à la suite d’un texte paru en ces pages le 22 mars dernier. M. Alexandre Klein signait alors, à titre d’historien, de philosophe et de chercheur postdoctoral à l’Université Laval, un propos intitulé « Des médecins en manque d’humanités ». Il puisait à différentes sources pour soutenir l’idée qu’au cours de leur formation, les étudiantes et étudiants en médecine de l’Université de Montréal, de l’Université de Sherbrooke et de l’Université Laval n’avaient « pratiquement aucun contact avec les diverses sciences humaines et sociales ».

M. Klein fait oeuvre utile en attirant l’attention des lecteurs sur ce fait essentiel : la formation proprement biomédicale des médecins en devenir doit s’appuyer sur un enseignement consistant en sciences humaines et sociales. C’est ce que nos collègues anglophones appellent les medical humanities… et que nous appelons chez nous l’enseignement de « l’humanisme en médecine ».

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