L’Université de Montréal salue le travail et le talent de ses chercheurs

Au cours de la cérémonie Bravo à nos chercheurs, l’UdeM a rendu hommage à ses chercheurs qui se sont illustrés dernièrement.

Plus d’une centaine de personnes ont participé à la cérémonie Bravo à nos chercheurs, tenue le 15 mai à l’agora Morris-et-Rosalind-Goodman du pavillon Jean-Coutu. L’occasion de rendre hommage aux chercheurs et chercheuses de l’UdeM qui se sont illustrés dans les 12 derniers mois par l’obtention ou le renouvellement d’une chaire de recherche du Canada ou d’une chaire philanthropique, ou encore par l’obtention de subventions de recherche majeures, d’un prix ou d’une distinction au Québec ou à l’étranger.

Le recteur Guy Breton a félicité ces hommes et ces femmes pour leurs succès «qui témoignent de votre travail acharné, de votre talent et de votre dévouement à la cause du savoir». Il a ensuite souligné l’importance de la reconnaissance publique de leur travail. «Vos succès justifient l’importance que prend l’Université de Montréal dans toute la société, pour tout le monde. On dit souvent que le nerf de la guerre, c’est l’argent. Mais pour une université comme la nôtre, le nerf de la guerre, c’est la reconnaissance publique de nos actions.»

Entrevue avec Nabil Seidah

Département de médecine, Faculté de médecine
Titulaire de la Chaire de recherche du Canada en protéolyse des précurseurs

Directeur du Laboratoire de biochimie neuroendocrinienne de l’Institut de recherches cliniques de Montréal

L’un des moments phares de la carrière du Dr Nabil Seidah fut la codécouverte en 1976 de la ß-endorphine, une hormone qui atténue la douleur et favorise le bien-être chez les mammifères. Le chercheur d’origine égyptienne venait tout juste d’arriver à l’Institut de recherches cliniques de Montréal (IRCM). Depuis, il se consacre à l’étude d’une famille de neuf protéases, les protéines convertases. Chef de file mondial dans le domaine, le Dr Seidah a réussi à démontrer, avec son équipe, l’importance de ces composantes dans des maladies aussi répandues que le cancer, le sida et l’hypercholestérolémie, entre autres.

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