Multidisciplinarité, rencontres et échanges : la première édition du congrès RéseauLab a rassemblé avec succès une centaine d’étudiants en recherche de la Faculté de médecine.
Se tenant à l’Hôtel Castel de Granby les 16 et 17 mai derniers, l’événement RéseauLab a été pensé par et pour les étudiants, afin de favoriser les collaborations, les discussions et l’entraide entre les divers départements de la faculté.
« Nous trouvions qu’à la Faculté de médecine nous faisions beaucoup de recherche, mais que nous le faisions parfois individuellement », explique Lionel Condé, membre du Comité organisateur RéseauLab 2019 et étudiant au Département de biochimie et médecine moléculaire.
Les étudiants présents, provenant de tous les départements de la Faculté de médecine, ont pu assister à des présentations orales, une conférence sur la vaccination, des présentations éclairs des recherches menées par les étudiants et des ateliers de discussions axés, notamment, sur le rôle du scientifique à l’ère des médias sociaux.
En plus de pratiquer l’éloquence et la vulgarisation scientifique, ce congrès a également permis aux étudiants de tisser des liens forts, un atout précieux dans un contexte où le rythme effréné des études raréfie les occasions d’échanger avec ses pairs.
« En discutant, nous avons réalisé que nous avions parfois des problématiques semblables, ajoute Sarah Pasquin, également membre du Comité organisateur RéseauLab 2019 et étudiante au Département de pharmacologie et physiologie. La mise en commun des expertises enrichit donc les réflexions et l’expérience étudiante. »
Christian Baron, vice-doyen à la recherche et au développement de la Faculté de médecine, a salué l’initiative des étudiants. « Cet événement a mis de l’avant l’excellence en recherche des étudiants de la faculté, en plus de refléter des valeurs qui nous sont chères, soit la multidisciplinarité et la collaboration. »
Étudiants, conférenciers et professeurs ont souligné le succès de cette première mouture, tout en encourageant la tenue d’une seconde édition. « L’intérêt à reprendre le flambeau a été soulevé à maintes reprises par les étudiants, précise Sarah Pasquin. Nous souhaitons assurer la pérennité de cet événement, puisque nous croyons à l’importance de cette activité dans le cheminement étudiant. »