La plupart des personnes vivant avec le VIH limitent l’action du virus grâce à un traitement antirétroviral. Bien que ces médicaments soient très efficaces, la présence de réservoirs viraux latents dans leur corps signifie qu’elles auront besoin d’un traitement à vie.
Une équipe internationale de chercheurs du CRCHUM, de la Rockefeller University et de l’Université de Cologne vient de prouver que l’utilisation des anticorps anti-VIH, lors de l’interruption d’un traitement antirétroviral, a un effet sur le système immunitaire des patients infectés par le VIH.