Sous la direction de la docteure May Griffith, chercheuse au Centre de recherche de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont et professeure au Département d’ophtalmologie, ce projet multinational paraissant dans la revue Science Advances a permis de trouver une solution efficace et accessible pour traiter les perforations cornéennes sans avoir recours à la transplantation.