Plusieurs études indiquent qu’être physiquement actif a de nombreux bienfaits sur la santé en général, dont la santé cognitive. Toutefois, aucune n’avait jusqu’ici mesuré, chez les personnes obèses, l’effet de l’activité physique sur leurs fonctions cérébrales.
Des chercheurs du Centre ÉPIC de l’Institut de cardiologie de Montréal, dont fait partie Louis Bherer, professeur au Département de médecine, ont voulu pallier cette lacune, sachant que l’obésité peut être associée à un déclin cognitif accéléré.