… mais peut-être pas de la manière dont vous le croyez
Dans le milieu de la recherche en santé, on présume qu’un médicament fonctionnera sensiblement de la même manière, tant chez les mâles que les femelles. Par conséquent, la plupart des études préliminaires sur des modèles animaux n’examinent les effets d’un traitement que sur un seul des deux sexes. Or, lorsqu’il est question de maladies étroitement liées au rôle des hormones, par exemple, le diabète, ces études devraient-elles continuer à se pencher sur un seul sexe?
La chercheuse Jennifer Estall, Ph. D., et son étudiant Aurèle Besse-Patin, tous deux de l’Institut de recherches cliniques de Montréal (IRCM) et de l’Université de Montréal, souhaitent répondre à la question.