Selon une étude réalisée par le Dr Sonia Lupien, professeure au Département de psychiatrie, et de Marie-France Marin, attachée au Centre d’études sur le stress humain, les nouvelles négatives risquent de rendre les femmes plus sensibles au stress tout au long de la journée.
![](https://medecine.umontreal.ca/wp-content/uploads/sites/68/2015/07/stretching-768x513.jpg)