Des troubles alimentaires chez les enfants engendrent des modifications structurelles au cerveau. Ces altérations pourraient être en partie réversibles avec la bonne prise en charge.
Les troubles alimentaires restrictifs à développement précoce, tels que l’anorexie mentale et le trouble d’alimentation sélective ou d’évitement (TASE), pourraient être associés à des modifications structurelles du cerveau chez les enfants atteints, révèle une nouvelle étude publiée dans Nature Mental Health et dirigée par Clara Moreau, professeure adjointe au Département de psychiatrie et d’addictologie de la Faculté de médecine de l’UdeM et chercheuse au Centre de recherche Azrieli du CHU Sainte-Justine.



