Quand le rejet vient de soi

Des chercheurs canadiens ont identifié une nouvelle structure cellulaire responsable des rejets jusqu’alors inexpliqués après une greffe d’organe. Cette découverte pourrait un jour révolutionner la pratique en transplantation, en modifiant l’évaluation des risques de rejet chez les personnes qui reçoivent une greffe de cœur, de poumon, de rein ou de foie.

 

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