Attribuer le bon organe à la bonne personne est toujours un défi. Deux chercheurs de l’UdeM pensent que l’intelligence artificielle peut contribuer à améliorer ce processus.
En termes de greffes d’organes, tout est une question de chance. La réussite d’une greffe dépend d’un certain nombre de facteurs, comme l’âge et l’état de santé du donneur et du receveur, la compatibilité biologique entre le donneur et le receveur et la capacité du patient à recevoir la greffe.
Mais si le système pouvait s’appuyer sur de meilleures statistiques, cela augmenterait-il les taux de réussite?
C’est ce que des chercheurs de l’Université de Montréal et de Polytechnique Montréal tentent de découvrir en travaillant à la conception d’une méthode d’apprentissage-machine informatisée qui permettra de mieux prédire le taux de réussite d’une greffe standard.
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