La réduction du flux sanguin et l’altération du couplage neurovasculaire sont deux caractéristiques bien connues du glaucome. Principale cause de cécité dans le monde, cette maladie oculaire touchait 80 millions de personnes en 2020.
Grâce à l’équipe dirigée par Adriana Di Polo, professeure de neurosciences et d’ophtalmologie à l’Université de Montréal et chercheuse au Centre de recherche du CHUM, les mécanismes responsables de ces anomalies sont désormais connus.