La Faculté de médecine proche de ses communautés 

 

L’université, telle qu’on la connaît traditionnellement, est un lieu d’enseignement, de hauts savoirs et de recherche scientifique. Or ces dernières années, un concept tout aussi important s’est frayé un chemin au cœur de notre institution : celui de la responsabilité sociale.

Concrètement, cela signifie que, tous ensemble, nous mettons nos connaissances et nos expertises pour le bien des citoyens et des communautés. Notre attention se porte sur des questions relatives à l’inclusion sociale, à l’égalité entre les hommes et les femmes, au respect de la diversité culturelle et à la dignité.

La responsabilité sociale est l’une des valeurs chères à la Faculté de médecine depuis toujours. C’est encore plus vrai aujourd’hui, alors que la pandémie nous confronte à de nouveaux défis et nous force à réfléchir à des solutions innovantes pour offrir les meilleurs soins et le meilleur enseignement.

C’est dans cet esprit que la Faculté de médecine invite la communauté étudiante à participer à la campagne de vaccination auprès des populations vulnérables. Elle encourage aussi la relève en santé à s’engager auprès de divers organismes pour répondre aux besoins des communautés à travers deux projets qui mettent en lien les futurs professionnels de la santé et des acteurs communautaires.

Vous découvrirez en outre les projets d’étudiantes et étudiants récompensés pour leur engagement social auprès des personnes défavorisées et marginalisées.

La représentation des étudiantes et étudiants issus des communautés noires dans nos programmes nous interpelle aussi. C’est avec beaucoup de fierté que nous vous présentons une galerie de portraits inspirants à l’occasion du Mois de l’histoire des Noirs.

Enfin, nos femmes sont à l’honneur, qu’elles soient des scientifiques d’influence aux parcours semés d’embûches et de victoires ou mentore aux Jeux de Beijing.

L’université n’est pas une tour d’ivoire, loin de là. Nous avons toujours été proches de nos communautés et nous continuerons à l’être. Il en va de notre responsabilité.

 

Patrick Cossette, Doyen

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