Des scientifiques de l’IRCM et de l’UdeM ont découvert un nouveau mécanisme mettant en cause le mauvais cholestérol dans le diabète de type 2.
Publiés juste avant la Journée mondiale du diabète, des travaux de la Dre May Faraj, professeure titulaire au Département de nutrition de la Faculté de médecine de l’UdeM et directrice de l’Unité de recherche sur la nutrition, les lipoprotéines et les maladies cardiométaboliques de l’Institut de recherches cliniques de Montréal (IRCM), mettent en lumière un nouveau mécanisme et un nouveau rôle pour les LDL – appelées communément mauvais cholestérol – dans le développement du diabète de type 2, les LDL étant déjà en cause dans les maladies cardiovasculaires chez l’humain.
Les résultats de ces travaux montrent que le fait de cibler les sujets ayant un taux élevé de LDL en utilisant des interventions qui réduisent l’inflammation peut réduire l’incidence du diabète de type 2 ainsi que celle des maladies cardiovasculaires, ce qui permet d’atteindre deux objectifs importants en une seule approche.