Une méthode pour mesurer les propriétés mécaniques de l’œil afin de prédire les maladies qui l’affecteront et désigner les astronautes à risque avant qu’ils partent en orbite, voilà ce que proposent les chercheurs Santiago Costantino et Mark Lesk, professeurs au Département d’ophtalmologie.
En collaboration avec l’Agence spatiale canadienne et la NASA, les deux chercheurs québécois de l’Université de Montréal et du Centre de recherche de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont (HMR) désirent mettre à profit leur expertise relative à la mesure de la rigidité de l’œil pour éviter aux astronautes les conséquences néfastes sur leur vision des voyages dans l’espace.