L’été dernier, une équipe de chercheurs de l’Université de Montréal était parvenue à modéliser un spicule du SRAS-CoV-2 – le virus responsable de la COVID-19 – de façon à simuler par ordinateur plus de 17 000 mutations possibles.
Grâce à ce modèle, les chercheurs sont aujourd’hui en mesure d’affirmer que le variant Omicron est plus transmissible, mais qu’il ne devrait pas poser de problèmes de santé sérieux aux personnes qui ont une forte réponse immunitaire aux variants déjà présents dans la population.