Une étudiante de l’UQTR perce un mystère du corps

(Trois-Rivières) Une des incisions sans doute les plus souvent pratiquées par les chirurgiens vasculaires est faite dans l’aine du patient et permet au médecin d’avoir ainsi accès à l’artère fémorale afin de réaliser diverses interventions comme la réparation ou le nettoyage de vaisseaux, l’installation de tuteurs coronariens ou l’envoi de sang dans la jambe afin de revasculariser le membre. Dans plusieurs cas, cette incision donne malheureusement lieu à des problèmes pour le patient.

«On a parfois des complications localement parce que cette incision-là a de la difficulté à guérir», explique le Dr Daniel Bourgouin, chirurgien vasculaire au CIUSSS de la Mauricie et du Centre-du-Québec et leader pédagogique à l’Université de Montréal.

 

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