Une nouvelle étude dirigée par des scientifiques du CHU Sainte-Justine et de l’Université de Montréal et dont les résultats sont publiés dans la revue Brain montre que le gène SYNGAP1, récemment reconnu pour son rôle dans la déficience intellectuelle et l’épilepsie, aurait également une incidence sur le système sensoriel des patients atteints d’une mutation génétique liée à ce gène («patients SYNGAP1»).