Des chercheurs de la Faculté de médecine de l’UdeM ont découvert que le soutien social entre les membres de la communauté LGBTQ+ peut les aider à mieux faire face à la pandémie sur le plan psychologique.
En effet, une étude publiée dans la revue LGBT Health suggère que le soutien social entre les membres de la communauté LGBTQ+, parfois appelés «familles choisies», pourrait les aider à mieux faire face au stress et aux crises.
«Le fait d’offrir aux personnes LGBTQ+ des occasions de se réunir et de se soutenir mutuellement leur donne accès à davantage de ressources pour faire face aux situations de crise», estime Robert-Paul Juster, professeur de médecine à l’UdeM et chercheur à l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal, qui a supervisé le travail de Silke Jacmin-Park, étudiante au doctorat en psychologie clinique et première auteure de l’étude.