Alors que l’humanité fait face à des défis colossaux, l’Université de Montréal lance l’offensive philanthropique la plus ambitieuse et inspirante de son histoire avec sa campagne L’heure est brave. La Faculté de médecine se tient en première ligne, à ses côtés.
Transmettre les connaissances de pointe et faire croître les talents. Promouvoir les pratiques innovantes. Faire germer des idées au service du bien commun. Former les leaders de demain. Bref, créer de la richesse qui profite à toute la société et contribue à bâtir un monde meilleur, en santé. Telle est notre mission depuis 180 ans.
Dans cette volonté d’intensifier les efforts pour mieux répondre aux besoins des populations, la Faculté se positionne comme un acteur de premier plan en philanthropie. La mobilisation de toute notre communauté facultaire, y compris nos diplômées et diplômés, permet ainsi la concrétisation d’une multitude de projets structurants ─ prix et bourses, programmes, chaires et centres de recherche…
Et grâce à nos précieux donateurs et donatrices, de nouveaux engagements se sont ajoutés ces derniers mois. Je pense notamment aux Conférences Télesphore-Parizeau mises sur pied grâce à un généreux don de l’homme d’affaires Robert Parizeau en mémoire de son grand-père, le Dr Télesphore Parizeau, ancien doyen de la Faculté (la première conférence prononcée par le microbiologiste Omar El-Halfawy est disponible en rattrapage).
Je pense aussi au don de la Fondation J.-Louis Lévesque en soutien à plusieurs de nos chercheuses et chercheurs. Je songe enfin à notre campagne du 180e anniversaire de la Faculté de médecine qui est toujours en cours. Grâce à votre générosité, plus de 200 000 $ ont été amassés au cours des derniers mois. Votre soutien nous permettra d’offrir des bourses à nos étudiantes et étudiants et d’appuyer des projets prioritaires de la Faculté.
Toutes ces contributions sont essentielles pour stimuler l’innovation en enseignement et en recherche. Avec la grande campagne de l’UdeM qui s’amorce, joignons toutes nos forces afin que notre Faculté puisse repousser les frontières des connaissances et former la relève en santé.
C’est pourquoi, à celles et ceux qui disent que l’heure est grave, nous répondons : L’heure est brave!
Patrick Cossette, doyen