Étudier le sommeil pour diagnostiquer plus tôt la maladie d’Alzheimer ou encore prédire la survenue de crises d’épilepsie, c’est le pari ambitieux de Valérie Mongrain.
Nous dormons près d’un tiers de notre vie, et, pourtant, de nombreux pans du sommeil demeurent encore inexpliqués. Les dernières avancées en neurosciences devraient permettre de décoder certains des mécanismes de cette fonction biologique essentielle à un bon état de santé.
L’équipe de Valérie Mongrain, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en physiologie moléculaire du sommeil et professeure au Département de neurosciences de la Faculté de médecine de l’Université de Montréal, s’attelle ainsi à mieux comprendre les relations entre sommeil et santé.