Une étude révèle le rôle joué par la supplémentation en oméga-3 dans le traitement de l’inflammation du tissu adipeux et la réduction du risque de maladies cardiométaboliques tel le diabète de type 2.
L’équipe de la Dre May Faraj, professeure titulaire au Département de nutrition de la Faculté de médecine et directrice de l’Unité de recherche en nutrition, lipoprotéines et maladies cardiométaboliques à l’Institut de recherches cliniques de Montréal, jette un éclairage nouveau sur le rôle de la supplémentation en oméga-3 d’origine marine dans le traitement de l’inflammation du tissu adipeux et la réduction du risque de maladies cardiométaboliques, comme le diabète de type 2.
Une avancée prometteuse
Publiée récemment en ligne dans la revue savante Scientific Reports, l’étude révèle que, chez les sujets présentant un taux sanguin élevé de lipoprotéines de basse densité (LDL), communément appelé «mauvais cholestérol», il y a une inflammation plus forte de leur tissu adipeux que chez ceux ayant un faible taux de LDL.