Nouvelle chaire de recherche du Canada pour la professeure Patricia Conrod au CHU Sainte-Justine

Patricia Conrod

Aujourd’hui, l’honorable Kirsty Duncan, ministre des Sciences et des Sports, a annoncé des investissements de plus de 156 millions de dollars dans le Programme des chaires de recherche du Canada qui appuieront 187 chaires nouvelles et renouvelées dans 49 établissements à travers le Canada, dans le cadre du concours d’octobre 2017. La Pre Patricia Conrod, PhD, chercheure au CHU Sainte-Justine et professeure titulaire au Département de psychiatrie à l’Université de Montréal est parmi les bénéficiaires avec l’octroi d’une nouvelle chaire de recherche du Canada de niveau 1 sur la prévention en santé mentale et la toxicomanie. «Notre gouvernement est résolu à promouvoir l’équité et la diversité en recherche et à appuyer la prochaine génération de chefs de file en recherche. Ces chaires de recherche du Canada prestigieuses améliorent la vie des Canadiennes et des Canadiens et repoussent les limites du savoir, ce qui contribue à un avenir florissant pour le Canada», souligne la ministre. La Pre Conrod est sans aucun doute une des chercheures les plus accomplies et les plus prometteuses dans son domaine.

La Pre Conrod est également titulaire de la Chaire Dr Julien/Fondation Marcelle et Jean Coutu en pédiatrie sociale en communauté de l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur les facteurs de risque d’ordre biologique, personnel et cognitif associés au développement et à l’entretien de la toxicomanie ainsi que sur les facteurs liés à la simultanéité des comportements de dépendance et d’usage nocif et d’autres problèmes de santé mentale. Dans ses recherches expérimentales, elle s’intéresse aux facteurs de renforcement pouvant pousser une personne à la consommation de produits toxicomanogènes. Plus récemment, ses recherches ont mené à l’élaboration de nouvelles approches thérapeutiques et préventives en toxicomanie visant les facteurs de risque personnels et les déterminants motivationnels sous-jacents à l’usage de produits toxicomanogènes chez certains sous-groupes de toxicomanes.

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