Vous souvenez-vous de cette petite étincelle qui a allumé un jour en vous l’idée de devenir médecin, pédiatre, psychiatre, microbiologiste, nutritionniste, orthophoniste, ophtalmologiste, kinésiologue… bref, d’embrasser l’une des innombrables professions de la santé?
Souvent, la flamme nous éclaire dès l’enfance, au détour d’une rencontre importante, d’une phrase significative ou d’une situation marquante. Puis le rêve grandit et l’envie d’aider, de soigner, de s’engager prend son élan.
Comme l’illustre notre toute nouvelle vidéo signature que nous vous présentons fièrement ce mois-ci et que nous vous invitons à partager dans vos réseaux, la Faculté de médecine s’est donné pour mission de faire grandir en vous ce rêve et de cultiver votre soif d’apprendre en prodiguant des formations d’excellence en sciences cliniques, fondamentales et de la santé. Et cela, dans le but de bâtir ensemble un monde meilleur en santé, tout en créant des connaissances et en les partageant avec les communautés d’ici et d’ailleurs.
Après 180 ans d’histoire, la Faculté de médecine continue d’être une chef de file en recherche, en enseignement et désormais en responsabilité sociale, et de faire jaillir l’étincelle auprès de la relève. Comme doyen et professeur, c’est pour moi un privilège de participer à la conception de nos programmes, de les bonifier et d’accompagner les étudiantes et étudiants à travers les étapes clés de leur vie professionnelle.
Nombreux sont les membres de notre Faculté qui brillent par leurs talents dans l’un ou l’autre des trois volets de notre mission facultaire, comme en font foi les prix reçus. Toutes nos félicitations!
Par ailleurs, la Faculté de médecine poursuit ses activités de responsabilité sociale à travers son engagement dans la Francophonie. Je reviens tout juste de Djerba, en Tunisie, où notre Faculté entretient des liens de longue date avec les facultés tunisiennes qu’elle a contribué à mettre sur pied. Des discussions se poursuivent avec nos collègues là-bas afin de bonifier nos partenariats en collaborant à la mise sur pied de campus délocalisés pour former la relève et contrer les déserts médicaux, forts de notre expérience avec notre campus de la Mauricie. Ces enjeux retiendront l’attention au cours des prochains mois, nous y reviendrons plus en détail.
Bonne fin de session à toutes et à tous,
Patrick Cossette, doyen