Pourquoi certains consommateurs de drogue deviennent-ils toxicomanes? Outre la quantité consommée, la vitesse à laquelle la substance se rend au cerveau constitue un facteur de risque tout aussi important.
Et, afin de mieux prévenir la toxicomanie, préconiser l’abstinence n’est pas une stratégie optimale : il faut aussi savoir que certaines façons de consommer sont plus addictives que d’autres.
C’est le message qui se dégage de l’étude1 menée par Florence Allain et Ellie-Anna Minogianis, toutes deux doctorantes au Département de pharmacologie de l’Université de Montréal, sous la supervision de la professeure Anne-Noël Samaha.